mardi 18 août 2009

Le printemps s’est couché avec le soleil.

Ni le temps ridé qui boit la lumière
Ni les photos emprisonnées dans le bonheur,
Ni les souvenirs ancrés dans les mémoires
Ne concilient ma folie
Depuis que tu es parti !
Tous les esprits s’agitent
Dans le jardin futile qui dort sous l’ombre
De ton rire opaque
Seul dans la grotte du silence
Qui nous serre les lèvres
De l’autre coté de l’absence.
Les saisons sont devenues muettes
Séchant leurs larmes sur le linceul
De mes pensées enrouées par la soif des mots
De la rosée de tes fleurs abandonnées
Devenues fanées
A l’angle du mutisme
Rangeant mes désirs dans l’insomnie
Et le coeur s’enlise dans le chagrin
De ton odeur du poème intuitif
Sous la pierre tombale immobile
Qui s’éloigne du présent
Rongeant ton espace ossuaire qui clôt
Dans la tendresse de la terre.

samedi 15 août 2009

Mon oeuvre et didactique et spontané elle fait référence au mythe et dogmes régissant notre société et notre existence dans
un conteste ou espoirs et ignorance prenne de l’empileur, cette effervescence chromatique et sérielles représente des paysage
idyllique et paisible, parfois sauvage, angoissant a certain moment, se sont des saines sans histoire je dirai presque
des moments égarer de notre mémoire, une nature figer et imaginaire.
Un environnement florale ou est figer une icône, narquoise et mystérieuse, une femme imperturbable qui nous suis du
regard et suggère la reddition et le léser allé, par sa simple présence tell les sirènes qui capture les mairains dans les haute
mers, car on ne peu que succomber a son appelle apaisent et hypnotique, charmante et distante telle une faucheuse agréable,
sur beaucoup de plan elle lui est similaire dans notre culture.
L’opinion populaire la décrit comme une atinté maléfique qui range nos âmes et briser nos vie, elle porte des noms peux
attraient et fantasques telle que :
la guigne, le mauvais oeil, el tabaa, la malchance,… elle est présenté dans toute les cultures, sous d’ivres aspect elle jouis
d’une grande impopularité, redouter et crainte elle n’existe que pour justifier nos échecs au yeux du monde, nous donner
refuge dans les sympathie les plus inattendus.
Ma démarche via cette oeuvre ainsi présenté est ironique et métaphorique, la guigne a elle seul représente le désespoir et la
mal vie, et conceptuellement parlant je la représente sous un aspect figuratif et agréable car je trouve les différente lecture
du spectateur intéressante sur tout sur un point souvent animiste, le spectateur lui est souvent choqué et confronté a une
phobie celle de l’inexplicable et l’inconnu il lui donne vie et la carin, même si se n’est qu’un collage au sain d’une penture
, la répétition aussi rajoute de l’angoisse dans les regard et de la présence dans les esprits et souvent submerge le spectateur
qui interroge car j’ai toucher a une phobie, populaire et inconsciente ,je confronte le spectateur a la superstition, et
se la reste souvent un acte relatif a la provocation consciente.
L’homme primitif avais deux phobie distincte mais qui sont toujours d’actualité en foui au fond de nous, elle ont traverser
le temps utilisant notre subconscient comme vaisseau, la première est d’être dévorer et la deuxième est d’être enterrer vivant,
L’homme primitif avait peur de l’orage la foudre, des bruits inexplicable des tremblements de terre et de la maladie,
de la mort….,
plus le capitale intellectuel humain ce développe et plus il se refuge dans le rationnel et la science, malgré sa il s’invente
de nouvelle phobie pour justifier son insécurité son ignorance, un besoin pressant de se protéger de se qu’il n’arrive pas
encore a comprendre et se l’expliquer.
Il reste encrer dans la croyance et les superstitions cherchant désespérément un abri loin de la fatalité.